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  • Affiches à voir ou à revoir


    Du lundi 29 avril au vendredi 3 mai 2024

    Dans les cafétérias :

    • Hôpital de la Cité-de-la-Santé
    • Hôpital juif de réadaptation
    • Centre multiservices de santé et de services sociaux de Laval (Centre de protection de l’enfance et de la jeunesse)

    Les affiches sont exposées dans les cafétérias de trois points de services du CISSS de Laval, mais il est possible de les consulter en ligne, ci-dessous : 

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    Affiche étudiante

    Le traitement de l’anorexie par la thérapie d’acceptation et d’engagement et la pleine conscience à la compassion envers soi : une étude de cas

    Anne-Sophie Dufour, Olivier Aubuchon, B.Sc., Pascale Vézina-Gagnon, PhD., Département de psychologie, Faculté des arts et des sciences, Université de Montréal

    L’anorexie est un trouble de santé mentale qui touche particulièrement les jeunes femmes entre 13-24 ans. À notre connaissance, il existe un nombre limité de données sur les interventions permettant un rétablissement complet de cette condition. Cette étude a donc pour objectif d’évaluer l’efficacité de la thérapie d’acceptation et d’engagement (ACT) et de la combinaison de ACT et de l’auto-compassion (A-C) pour traiter l’anorexie à l'aide d'un schème expérimental de type ABC d'une durée de 12 semaines.Le traitement consiste à faire la lecture d'un livre de Dr Russ Harris basé sur les techniques de l'ACT et de combiner l'ACT avec une méditation d'A-C de Tara Brach. L'intensité et la fréquence des symptômes d'anorexie sont notés dans un journal d'observations. Les résultats montrent que les interventions entrainent une diminution de la fréquence et de l'intensité des symptômes d'anorexie globalement, mais que la combinaison des traitements n'entraine pas une plus forte diminution. Les résultats soulignent d'une part l'efficacité d'interventions issues de la TCC pour traiter l'anorexie et d'une autre part, la complexité clinique et de traitement de ce trouble des conduites alimentaires.

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    Structuring Research Efforts in a Primary Care Setting: Mission Possible!

    • Émilie Taché, Agente d'amélioration continue de la qualité, GMF-U du Marigot, CISSS de Laval
    • Julie Desrosiers, Chef de service, GMF-U du Marigot, CISSS de Laval
    • Jacinthe Dupuis, Spécialiste en transfert des connaissances, CISSS de Laval

    The mission of the Marigot University Family Medicine Group (U-FMG) is triple: clinical, academic and research. The U-FMG is often solicited by various researchers to participate in research projects in primary care. Better monitoring of the various research projects was needed in order to ensure optimal use of the U-FMG's limited resources. A dynamic dashboard was developed to follow ongoing research projects on three levels: assess the resources required by the proposed projects, structure the progress, provide feedback on the U-FMG's participation and it's impact. 

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    Expériences des patients et perceptions des professionnels de la santé sur les effets de la pratique avancée des pharmaciens en GMF (projet EXPAND) : volet quantitatif

    Marie-Claude Vanier 1,2, Audrey Janoly-Dumenil 3,4, Anne Maheu 5, Ghislaine Rouly 6, Nicolas Dugré 2,5, Marie-Thérèse Lussier 7, Pierre-Marie David 2, Line Guénette 8

    1 Centre intégré de santé et services sociaux de Laval (Québec) Canada; 2 Faculté de pharmacie, Université de Montréal (Québec) Canada; 3 Faculté de pharmacie, Université de Lyon, France; 4 Hospices civils de Lyon, France; 5 Centre intégré universitaire de santé et services sociaux du Nord-de-l’Île-de-Montréal, (Québec), Canada; 6 Centre d’excellence sur le partenariat avec les patients et le public (CEPPP); 7 Faculté de médecine, Université de Montréal (Québec) Canada; 8 Faculté de pharmacie, Université Laval, Québec (Québec) Canada.

    L’entente de pratique avancée en partenariat (EPAP) permet aux pharmaciens d’une équipe clinique la prescription autonome de médicaments. Objectif principal : évaluer l’expérience des patients envers les pratiques avancées des pharmaciens de leur GMF. Objectif secondaire : décrire cette pratique et explorer les perceptions par les professionnels de la santé des GMF. Sondages en ligne auprès de patients suivis dans 6 GMF/GMF-U et des médecins, infirmières et infirmières praticiennes spécialisées (IPS). Quatre-vingts patients et 70 professionnels ont répondu au sondage. 77% ont autant confiance dans la prescription du pharmacien GMF que de leur médecin et 19% se sentait plus confiant avec une prescription du pharmacien GMF. 81% des patients considéraient avoir un accès plus rapide au GMF pour leurs besoins médicamenteux. 94% des professionnels se sentait confortable ou très à l’aise avec l’initiation autonome d’un médicament par un pharmacien de leur GMF. La moitié des professionnels ont noté avoir plus de temps à consacrer aux tâches pour lesquelles leur expertise est essentielle depuis l’application de l’EPAP dans leur milieu.
    L’implantation d’une EPAP augmente la fluidité des soins et services et dégage du temps aux médecins de l’équipe pour réaliser des tâches requérant leur expertise. 

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    Les besoins en apprentissage des infirmiers(-ières) nouvellement gradués(-ées) sur les unités de chirurgie du Québec : une étude qualitative descriptive

    Jacinthe Collin, Conseillère clinique, continuum opératoire, Direction des soins infirmiers (DSI), Centre intégré de santé et de services sociaux de Laval

    Au début de leur pratique, les infirmiers (-ières) nouvellement gradués (-es) peuvent connaitre une période de transition difficile caractérisée par différentes craintes, telles que la peur de ne pas répondre aux exigences des milieux cliniques, la peur de l’échec, de l’incompétence et de faire des erreurs. Elles peuvent parfois se sentir seules ou démunies et être amenées à remettre en question leurs connaissances et compétences professionnelles. Une expérience négative durant la période de transition du milieu académique vers les milieux professionnels peut nuire au développement professionnel des infirmiers (-ières), et même pousser les jeunes professionnels (-elles) à quitter leur emploi ou même à remettre en question leur choix de carrière. Le but de cette recherche était donc d’identifier et de décrire les besoins en apprentissage des infirmiers (-ières) nouvellement gradués (-es) qui travaillent sur des unités de chirurgie d’hôpitaux du Québec. Afin de répondre au but de l’étude, un devis qualitatif descriptif a été choisi. L’étude s’est également basé sur l’analyse de besoins en apprentissage de Lapointe (1983) et les types de besoin en apprentissage définis par Ratnapalan et Hilliard (2002), plus précisément les besoins perçus par l’apprenant, les besoins exprimés par l’apprenant et les besoins non perçus par l’apprenant, permettant de bien identifier les besoins en apprentissage. L’analyse des données a permis de faire ressortir huit thèmes en lien avec les besoins d’apprentissage des infirmières nouvellement graduées.

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    Affiche étudiante

    Exploring the challenges of avoiding collisions with virtual pedestrians under dual-task conditions after moderate or severe traumatic brain injury.

    Thiago de Aquino Costa Sousa 1,2, Bradford J. McFadyen 3,4, Anouk Lamontagne 1,2

    1 Jewish Rehabilitation Hospital – CISSS Laval site of Centre for Interdisciplinary Research in Rehabilitation of Greater Montreal (CRIR), Laval, Quebec, Canada, 2 School of Physical and Occupational Therapy, McGill University, Montreal, Quebec, Canada, 3 Centre Interdisciplinaire de Recherche en Réadaptation et Intégration Sociale, CIUSSS-CN, IRDPQ, 4 Department of Rehabilitation, Université Laval, Québec, Québec, Canada

    Introduction: Despite good locomotor recovery, individuals with chronic moderate-to-severe TBI (m/sTBI) experience difficulties in adapting their locomotion to the environment, including performing simultaneous locomotor and cognitive tasks. Objectives: To determine, in individuals with m/sTBI vs. healthy controls (CTLs), cognitive and locomotor dual-task costs (DTCs) associated with the simultaneous performance of a cognitive task and a collision avoidance task involving virtual pedestrians (VRPs). Methodology: Twelve individuals with m/sTBI (age=43.3±9.5 [mean±1SD]) and 12 CTLs (age=41.8±8.3) were assessed while walking in a virtual subway station viewed in a head-mounted display and performing: (1) single-task walking (obstacle avoidance); (2) single cognitive tasks (pitch-discrimination – simple and complex); (3) simultaneously performing the locomotor and cognitive tasks (simple and complex dual-task conditions). DTCs were calculated for cognitive task accuracy, walking speed, minimum distance and onset distance. Results: CTLs showed negative DTCs (performance enhancement) for onset distance of deviation and minimum distance. The m/sTBI group presented modest positive DTCs for all locomotor outcomes and cognitive task accuracy in the simple dual-task condition. In the complex dual-task condition, they exhibited larger positive DTCs for minimum distance and cognitive task accuracy. Conclusion: CTLs adopted safer avoidance strategies, at variance, individuals with m/sTBI failed to modulate locomotor and cognitive performance.

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    Affiche étudiante

    Language Performance and Exercise in Older Adults:  A Scoping Review

    Roya Khalili 1,2, Eva Kehayia 1,2, Marc Roig 1,2

    1 School of Physical and Occupational Therapy, McGill University, 2 Centre for Interdisciplinary Research in Rehabilitation of Greater Montreal (CRIR)—Jewish Rehabilitation Hospital of the CISSS de Laval

    Chronological and pathological aging can be accompanied by challenges in cognitive and executive function and language performance. Research on exercise reports improvement in information-processing, reaction time, attention, and memory in older adults. Some of these cognitive functions are mediated by frontal and prefrontal brain regions', which are also involved in different language functions. While the benefits of exercise on various cognitive functions have already been reviewed, little is known about the effect of exercise on language performance. To address this, a scoping review was conducted to identify existing evidence on exercise-induced changes on language performance in adults aged 45-74 years with and without acquired neurological conditions. Using the framework proposed by Arksey and O 'Malley (2005) and searching four databases, i.e., PubMed, Ovid, CINAHL, and Cochrane Library, three reviewers included 27 studies. The International Classification of Functioning, Disability, and Health (ICF) was used to categorize the results. The 10 included studies on healthy older adults (N = 616, 522 females) indicated enhanced semantic and phonological Verbal Fluency (VF) with 70% significant improvement following exercise. Among the 17 included studies with older adults with neurological conditions (N 1368, 791 females), 10 (58.82%) reported better picture naming/description, semantic and phonological VF while only four studies (23.52%) showed significant improvement by exercise. In older adults with Parkinson's Disease, mild Alzheimer's Disease (AD), or Mild Cognitive Impairment, exercise yielded positive results in VF and picture description. No significant change was observed in VF tasks for older adults with AD or with Major Depression Disorder. In stroke, naming showed improvement following exercise while VF remained unchanged. Overall, language tasks which place more demands on linguistic processes and effortful executive functions mediated by frontal and prefrontal brain regions seemed to respond better to exercise which is consistent with previous findings. This review can help future research on language and exercise interventions in clinical settings.

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    Affiche étudiante

    Body Coordination During Walking and Turning on an Omnidirectional Treadmill with Virtual Reality: Research Protocol

    Thiago Vidal Pereira 1,2, Andéranne K. Blanchette 3,4, Philippe S. Archambault 1,2, Anouk Lamontagne 1,2

    1 McGill University, 2 Centre for Interdisciplinary Research in Rehabilitation of Greater Montreal (CRIR), Jewish Rehabilitation Hospital Research Site, 3 Université Laval, 4 Centre interdisciplinaire de recherché en réadaptation et integration sociale (Cirris) 

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    Affiche étudiante

    Knowledge translation strategies used to promote evidence-based interventions for children with cerebral palsy: A scoping review

    Jessica Hanson 1,2,3,4, Akash Sasitharan 1,2,3, Tatiana Ogourtsova 1,2,3, Annette Majnemer 1,3,4

    1 McGill University, Montreal, QC, Canada; 2 Jewish Rehabilitation Hospital-CISSS Laval, site of CRIR, Laval, QC, Canada; 3 Centre for Interdisciplinary Research in Rehabilitation (CRIR), Montreal, QC, Canada; 4 Research Institute of the McGill University Health Centre, Montreal, QC, Canada

    Background: Cerebral palsy (CP) is the most common childhood physical disability, imposing substantial costs on individuals and society. Early interventions that promote brain optimization and reorganization are vital for children with CP. Integrating early evidence-based practice (EBP) remains challenging but enhances functional outcomes. Methods: Following a scoping review methodology, databases were searched to identify studies examining the impact of knowledge translation (KT) strategies for pediatric CP interventions. Extraction included study characteristics, methodology, KT strategies, barriers, and facilitators. Numerical and inductive content analysis identified themes among KT strategies. A final stakeholder consultation to discuss the results was conducted. Results: This review included eighteen articles. Common outcomes included participant change in EBP knowledge and behaviour. Common barriers included a need for more resources, protected time, and funding. Most studies followed a multifaceted KT approach. Various KT strategies were used, primarily mentoring, workshops, case studies, and online tools. Interpretation: Results underscored the need for tailored KT strategies for implementing EBP for children with CP. Additionally, user-friendly KT tools and involving mentors to facilitate the intervention can haste EBP uptake. Successful adoption depends on challenges in healthcare settings. This study provides insights into current KT strategies for advancing best practices for children with CP.

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    L’évaluation d’une formation interactive pour les parents en attente de services spécialisés

    Justine Grenier-Martin 1, M. Rivard 1, S. Patel 1, M. J. Lanovaz 2 et C. Lefebvre 1

    1 Université du Québec à Montréal, 2 Université de Montréal

    La présence de comportements problématiques (CP) chez les enfants ayant une déficience intellectuelle (DI) peut avoir de graves conséquences sur leur qualité de vie, comme limiter la participation à diverses activités sociales. De plus, la présence de CP peut avoir un impact considérable sur la qualité de vie familiale (par exemple, stress parental accru, épuisement parental). À leur tour, ces conséquences agissent de manière bidirectionnelle et peuvent également avoir un impact sur les CP chez les enfants. Dans une enquête récente documentant les besoins des familles d'enfants atteints de DI, les parents ont signalé un besoin d'outils simples pour les soutenir dans la gestion quotidienne des CP (Grenier-Martin & Rivard, 2021). Malheureusement, les longs délais pour accéder aux services spécialisés sont monnaie courante au Québec. Comme alternative, un programme de formation interactif en ligne visant à gérer le CP a été créé, en s’appuyant sur les pratiques basées sur les données probantes, tout en étant facilement exportable (pour l'accessibilité aux zones reculées), simple et peu coûteux.
    Le but de la présente étude était d'évaluer le programme destiné aux jeunes enfants ayant une DI et à leurs parents. Pour ce faire, nous avons utilisé un devis avec deux groupes randomisés ayant accès à l'intervention après une liste d'attente. Vingt-neuf parents ont complété différentes mesures à quatre moments (mesures sur l'enfant et sur les parents). Ce rapport se concentre sur la tendance des fréquences et de l'intensité des CP des enfants (allant de 0 à 10) au cours de l'expérimentation (14 semaines) observées par les parents, ainsi que sur les données de validité sociale et de satisfaction.
    Le but de ce projet était d'évaluer l'efficacité et la validité sociale d'un programme innovant à offrir aux familles pendant la période d'attente. Les résultats ont révélé une réduction significative des CP perçus de l'enfant et un haut niveau de satisfaction concernant la formation. Il semble répondre aux besoins soulignés dans l'enquête qui était de proposer des outils simples aux parents. Il est important de noter que la formation n’est pas destinée à remplacer les services spécialisés intensifs, mais plutôt à combler le long fossé entre l’obtention du diagnostic et la prestation des services.

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