Présentation étudiante

Navigating through pedestrians: Identifying challenges among adults with chronic TBI

Azba Shaikh, Centre de recherche interdisciplinaire en réadaptation du Montréal métropolitain

Avoiding collisions with surrounding pedestrians is necessary to navigate safely in the community. Adults with moderate-to-severe traumatic brain injury (m/sTBI) show less confidence in navigating complex environments. To understand how individuals with m/sTBI circumvent pedestrians, 13 participants with m/sTBI and 13 healthy controls were immersed in a virtual metro station using a virtual reality headset. They walked towards a distant target while avoiding approaching virtual pedestrians. Interpersonal distances (distance from VRP at onset of trajectory deviation, and clearance) and average walking speed were contrasted between groups and emotional conditions using Generalized Estimating Equations (significance at p

Présentation étudiante

Does AR mirror reality more than VR?’: A Comparison of Obstacle Circumvention in AR, VR, and Real Environment in Response to a Static Pedestrian

Saksham Gupta, Centre de recherche interdisciplinaire en réadaptation du Montréal métropolitain

Virtual reality (VR) is an important tool for evaluating obstacle circumvention strategies (OCS) in clinical settings. However, a subtle disparity in OCS between VR and the real environment (RE) exists, likely due to altered depth perception and experience in VR. Augmented reality (AR), is a promising alternative that offers better depth perception and realism than VR which could be more useful in clinical settings. The impact of AR on OCS, however, remains to be determined. We aim to estimate the extent to which AR impacts OCS compared to RE and VR among healthy young adults during an obstacle avoidance task. A repeated measures design will be used. Twenty healthy young adults (18-29 years) will be evaluated while walking and avoiding collisions with a static pedestrian in AR, VR and RE under four conditions (3m, 3.5m, catch trial, no obstacle). Participants will be immersed in the AR/VR environments using the Varjo XR 3™ HMD. VICON motion capture system will record full-body kinematics. OCS will be compared across environment and obstacle conditions using generalized estimating equations. We expect to observe similar OCS in AR and RE and any dissimilarities found would be less pronounced than those found between VR and RW.

Trois ans de recherche pour comprendre la hausse de l'aide médicale à mourir au Québec : le mandat du CIRAMM

Catherine Perron, Conseillère en éthique, Direction de la qualité, évaluation, performance et éthique, Centre intégré de santé et de services sociaux de Laval

Depuis 2015, l’aide médicale à mourir (AMM) est autorisée au Québec pour les personnes répondant à tous les critères de la Loi concernant les soins de fin de vie (LCSFV). Depuis huit ans, on observe une augmentation croissante du recours à l’AMM, positionnant le Québec au premier rang mondial du pourcentage des décès par AMM (7 %), devant les autres provinces canadiennes et les juridictions où la pratique est autorisée depuis parfois des décennies. Comment expliquer cette hausse? Comment expliquer les disparités régionales dans les demandes et la prestation de l'AMM ? Quel sont les caractéristiques des personnes qui demandent l'AMM ? Quels sont les enjeux émergents ? Quels moyens pour y répondre ? Notre équipe, le Consortium interdisciplinaire de recherche sur l'AMM (CIRAMM), composée de 75 chercheurs, cliniciens, collaborateurs et usagers partenaires, dirigée par Marie-Eve Bouthillier, cadre conseil en éthique au CISSS de Laval et professeure agrégée de clinique à l’Université de Montréal, a récemment obtenu un montant de près d'un million de dollars du MSSS pour étudier ces questions. En 180 secondes, nous présenterons le plan de mise en œuvre qui sera déployé dans les trois prochaines années pour répondre à ce vaste chantier de recherche.

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Les méthodes mixtes pour mieux appréhender les refus d’aide médicale à mourir

Alexandra Beaudin, Candidate Ph.D. en Santé des Populations, Université d'Ottawa

Après un refus de la demande d’aide médicale à mourir (AMM), le désir de mourir de nombreuses personnes persiste, menant parfois jusqu’au suicide. Ceci témoigne d’un manque dans notre compréhension et notre accompagnement post-refus d’AMM. Afin de mieux appréhender les refus de demande d’AMM au Québec, deux phases de recherche seront réalisées. La première phase du projet consiste en une analyse secondaire des données issues d’une enquête réalisée auprès de médecins canadiens en 2017. L’analyse consistera à comparer les caractéristiques des personnes à qui la demande de hâter leur mort a été accordée avec celles à qui elle ne l’a pas été. La deuxième phase sera réalisée par le biais d’un devis mixte séquentiel exploratoire. Une étude descriptive interprétative via des entretiens semi-structurés permettra de décrire et interpréter l’expérience vécue des personnes à qui une demande d’AMM a été refusée. Elle sera suivie d’une étude de type Delphi visant à élaborer des priorités d’intervention en situation de refus d’AMM. À travers une approche humaniste, cette recherche vise à informer les politiques de santé pour améliorer l'accompagnement des personnes après un refus d'AMM. Comprendre les raisons des refus et ses implications est essentiel pour offrir un soutien approprié à ces individus.

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Soutenir la pratique de l’aide médicale à mourir (AMM) : Comment les éthiciens cliniques peuvent contribuer ?

Vanessa Finley-Roy, T.S., Fellow en éthique clinique, Catherine Perron, Phd, Dr. Ralf Jox, Prof. Marie-Eve Bouthillier.

Contexte : La pratique de l’AMM s’est complexifiée depuis sa légalisation en raison de l’augmentation des demandes et des profils cliniques des demandeurs. De nombreuses études mettent de l’avant un besoin de soutien accru aux prestataires de l'AMM afin d'assurer la pérennité de la pratique. Cependant, aucune recherche n'a exploré le rôle des éthiciens dans l’AMM malgré les nombreux enjeux éthiques liés à ce soin. Nous cherchons donc à comprendre comment les éthiciens pourraient soutenir les prestataires d’AMM au Québec. Objectifs : 1) Explorer les perspectives des cliniciens et des éthiciens sur le sujet ; 2) Identifier la manière dont les éthiciens ont été impliqués jusqu'à présent ; 3) Identifier les pratiques prometteuses. Méthodes : Des groupes de discussion ont été organisés avec : 1) des cliniciens ; 2) des éthiciens du réseau de la santé et des services sociaux. Les verbatims sont analysés à l'aide d'une analyse thématique. Implications : Les résultats préliminaires révèlent qu'une majorité significative des participants pensent que les éthiciens ont un rôle à jouer dans l’AMM. Des rôles spécifiques ont été identifiés et seront présenter lors de la conférence. Cette recherche contribuera à mettre en lumière les pratiques pouvant soutenir les prestataires de l’AMM.